Orites et rousserole

Le printemps a été beau et l'été s'annonce sous les meilleurs auspices. Côté fruits : les groseilliers croulent littéralement sous le poids des baies, le cassissier et les camérisiers ne sont pas en reste (bientôt des photos d'illustration), les légumes poussent plutôt pas mal (premiers radis récoltés : délicieux...), et de nouveaux fruits se préparent : au programme, peut-être les premières pêches, hypothétiquement des abricots, une poignée de cerises si j'ai de la chance (décidément je ne suis pas copain avec nos cerisiers...), mais surtout, les pommes s'annoncent bien, quant aux noix... Elles vengeront la mauvaise récolte de l'année dernière.

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Depuis quelques jours les orites (ou mésanges à longue queue, mais ce ne sont pas des mésanges en fait) passent dans le jardin. Elles arrivent toujours en petite bande.

 

 

 

 

 

 Monsieur le merle... 

 

 

 

Les graminées : joli, mais mes grandes ennemies (je suis allergique malheureusement)

Il y a aussi une rousserole verderolle qui vient chanter à tue-tête dans le fond du jardin. Avec les hautes herbes, elle a trouvé son bonheur. Franchement, c'est l'oiseau le plus doué pour moduler ses chants, à part la grive musicienne sans doute, mais cela reste très impressionnant... En revanche, pour la photographier, quel casse-tête...

Centaurée. correction (merci à l'aimable contributeur qui m'a signalé qu'il s'agissait en réalité de...) Lychnis flos-cuculi, ou oeillet des prés. J'en apprends tous les jours. Et ça, c'est bien 😊😉

Buveuse.

Dans le prochain article, on reparlera des libellules déprimées ! 

Hasta la vista, baby !