lundi 8 janvier 2024

De l'importance de marcher à pas feutrés... et d'avoir de la chance.

Temps gris à lumineux, -3°C ce matin.

Dans le jardin, dans la nature, il faut toujours être patient, et essayer de marcher en silence, tranquillement, sans s'agiter.

Parfois, cela ne fonctionne pas : par exemple, les aigrettes et hérons repèrent n'importe quel piéton à 500 mètres (sauf coup de chance ou bonne angle d'approche), comme hier, où je n'ai pu qu'apercevoir de loin une une vingtaine de hérons et aigrettes, mais... pour des photos en demi-teinte (ça fait quand même plaisir). Mais bon, les voir s'envoler, etc. J'ai compris que je les avais dérangés, et donc, je ne recommencerai pas la même approche.

Etonnamment, les voitures ne les dérangent pas du tout. Comme quoi, plus qu'à faire un safari en voiture avec l'appareil dans les mains du passager ! ;-) (humour, je précise)





Au moment où j'allais me décider à rentrer de ma ballade, je croise le chemin d'un ragondin en train de manger. Il ne m'a pas vu arriver ! Je m'approche donc aussi doucement que possible...



A la fin, évidemment, il m'a vu, et rentre chez lui très tranquillement en nageant. Au revoir Myocastor !



Apparemment, aujourd'hui j'ai surpris beaucoup de monde...


Et quand l'effet de surprise ne sert plus à rien, on peut encore compter sur la chance. Comme celle de voir se poser le pic-vert dans le jardin à l'improviste... Le temps de saisir une seule photo ! (c'est la première photo de pic-vert que je parviens à prendre).


Bien sûr, le retour du froid attire tout le monde vers les mangeoires et les graines diverses au sol... Demain il y aura d'autres photos déjà dans la boîte, au programme, moineaux, chardonneret et pie ! 

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